Logo Sunspear Conseils

Calculer la rentabilité de votre investissement locatif, choisissez le meilleur régime fiscal et obtenez un rapport chiffré détaillé pour votre financement !

Calculer votre rendement locatif

Maximisez votre rendement immobilier avec notre simulateur facile d'utilisation. Entrez vos revenus et charges locatives pour obtenir rapidement une estimation précise de votre rentabilité. Augmentez vos cashflows avec des décisions basées sur des calculs fiables. Lancez votre simulation dès maintenant !

Trouver le régime fiscal le plus avantageux

Grâce à nos ressources et la possibilité de simuler un investissement selon de multiples régimes fiscaux, optimisez votre rentabilité en choisissant le meilleur régime fiscal !LMNP au réel, Micro-foncier ou SCI à l’impôt sur les sociétés n’auront plus de secret pour vous.

Calculer le coût de votre financement

Saisissez les détails de votre prêt, tels que le montant emprunté, le taux d'intérêt et la durée, pour obtenir instantanément une estimation claire des mensualités et du coût total de votre crédit. Ainsi, vous pourrez anticiper le coût total de votre emprunt avec assurance et garantie !

Simuler la rentabilité d'un bien

Comment choisir mon régime fiscal?


Type de
location
Choissisez votre régime fiscal

Démarrez votre simulation immobilière !

Entrez les informations clés de votre investissement potentiel : coût de l'achat, détails du prêt, et plus encore. Vérifier votre rentabilité avec de nombreux régimes fiscaux !

Découvrez votre rendement locatif !

Obtenez une analyse complète, détaillée et personnalisée : explorez votre cash-flow prévisionnel, le vrai coût de votre crédit, et les facteurs influençant votre rentabilité.

Obtenez un dossier d’investissement irréprochable !

Générez votre rapport en PDF détaillé, une projection sur une durée de 30 ans. Armez-vous d'un document solide et convaincant à remettre à votre banquier ou co-investisseurs.


Obtenir des conseils d'experts

Experts comptables et consultants chevronnés
Prendre Rdv

Comment choisir le régime fiscal pour calculer la rentabilité de mon investissement immobilier ?

OU

Tout savoir sur le régime LMNP

Le statut LMP (Loueur Meublé Professionnel) concerne les propriétaires qui tirent plus de 23 000 € de revenus locatifs meublés et pour lesquels ces revenus représentent plus de 50% de leurs revenus globaux. Le LMP offre des avantages fiscaux supplémentaires par rapport au LMNP, mais il est soumis à des obligations plus contraignantes et aux cotisations sociales à déclarer auprès de l’URSSAF.
En tant que LMNP, vous êtes exonéré de charges sociales sur vos revenus locatifs. Vous êtes uniquement soumis à l’impôt sur le revenu et aux prélèvements sociaux sur les revenus du patrimoine.

Comme pour tout investissement immobilier, il existe des risques liés au LMNP.

Ces risques peuvent être liés au marché immobilier (baisse des prix, vacance locative) ou à la mauvaise gestion de votre investissement (choix d’un régime inadapté, non tenue de votre comptabilité, mauvais choix de locataire.)

Il est donc important de bien étudier le marché, le bien immobilier et de vous former avant d’investir.

En tant que propriétaire, il est recommandé de souscrire une assurance propriétaire non occupant (PNO) pour couvrir les risques liés à la location de votre logement. Cette assurance couvre notamment les dégâts des eaux, les incendies et les dégradations éventuelles causées par le locataire.
Oui, vous pouvez financer votre investissement en LMNP grâce à un crédit immobilier. Les intérêts d’emprunt sont déductibles des revenus locatifs dans le cadre du régime réel, ce qui permet de réduire votre imposition.
Pour déclarer vos revenus locatifs en LMNP, vous devez remplir le formulaire P0i et l’adresser au greffe du tribunal de commerce. Ensuite, selon le régime fiscal choisi (micro-BIC ou réel), vous devrez déclarer vos revenus sur votre déclaration de revenus annuelle, en remplissant les formulaires appropriés (2042-C-PRO pour le micro-BIC ou 2031 et 2033 pour le régime réel).

Oui, vous pouvez changer de régime fiscal en cours d’investissement.

Si vous êtes soumis au micro-BIC, vous pouvez opter pour le régime réel à tout moment, à condition d’en faire la demande auprès de l’administration fiscale avant le 1er février de l’année concernée.

En revanche, si vous êtes soumis au régime réel, vous ne pouvez revenir au micro-BIC qu’après trois années consécutives de revenus locatifs inférieurs aux seuils du micro-BIC.

Oui, il est possible d’investir en LMNP avec un bien ancien, à condition qu’il respecte les critères d’éligibilité (meublé, loué à titre de résidence principale du locataire), de décence ainsi que de performance énergétique défini par la loi.

La revente d’un bien en LMNP se déroule de la même manière que la revente d’un bien immobilier classique. Vous devez trouver un acquéreur, signer un compromis de vente, puis un acte authentique chez un notaire.

La plus-value immobilière réalisée lors de la revente sera soumise à l’impôt sur le revenu et aux prélèvements sociaux, avec des abattements pour durée de détention.

Les locations saisonnières sont éligibles au statut LMNP attention cependant car dès dépassement du seuil de 23’000€ de revenus locatifs annuels, vous serez soumis à des cotisations sociales auprès de l’URSSAF !

De plus, certaines villes imposent des restrictions et des obligations spécifiques pour les locations saisonnières, comme l’obligation d’obtenir une autorisation préalable de la mairie ou de respecter des quotas de durée de location, ainsi que des obligations de changement de destination ou encore de location de surface de compensation en longue durée.

Il est donc important de se renseigner sur la réglementation locale avant d’investir en location saisonnière.

Tout savoir sur la SCI

L’objectif principal d’une SCI est de faciliter la gestion, la transmission et la fiscalité des biens immobiliers détenus en commun ainsi que de réunir les ressources de plusieurs associés pour investir ensemble avec un meilleur effet de levier.
Les avantages d’une SCI incluent la gestion simplifiée du patrimoine, la transmission facilitée et une fiscalité avantageuse à condition de bien choisir en amont entre l’IR et l’IS.
Dans une SCI soumise à l’impôt sur le revenu, les bénéfices sont imposés directement entre les mains des associés, proportionnellement à leurs parts sociales. Dans une SCI soumise à l’impôt sur les sociétés, les bénéfices sont d’abord imposés au niveau de la société, puis les associés sont imposés sur les dividendes perçus.
Il faut éviter de ne pas rédiger des statuts clairs et précis, négliger la répartition des parts sociales et ne pas respecter les formalités administratives lors de la création d’une SCI.
Les SCI sont généralement exonérées de TVA, sauf si elles exercent des activités soumises à TVA ou si elles optent volontairement pour la TVA. Dans ce cas, la SCI doit facturer la TVA sur les loyers et peut récupérer la TVA sur ses dépenses liées à l’activité.
Oui, une SCI peut contracter un emprunt immobilier pour financer l’achat ou la rénovation d’un bien immobilier. Cependant dans la majorité des cas les banques étudient avant tout la solvabilité des associés de la SCI avant d’accorder un prêt.
La dissolution d’une SCI peut être décidée par les associés lors d’une assemblée générale, par décision de justice, ou automatiquement en cas de cessation des activités ou de liquidation judiciaire. Après la dissolution, la SCI doit être liquidée, c’est-à-dire que les biens doivent être vendus et les dettes payées. Le solde restant est ensuite réparti entre les associés si il y a un boni de liquidation.
Le gérant d’une SCI est responsable de la gestion quotidienne de la société, notamment la perception des loyers, l’entretien des biens immobiliers, la tenue de la comptabilité et la représentation de la SCI vis-à-vis des tiers. Le gérant doit agir dans l’intérêt de la SCI et peut être tenu responsable en cas de faute de gestion.
Oui, il est possible de changer le gérant d’une SCI. Les modalités de changement du gérant sont généralement précisées dans les statuts de la société. Le changement doit être approuvé par les associés lors d’une assemblée générale et faire l’objet d’une formalité de publicité.
Oui, les associés d’une SCI peuvent occuper le bien immobilier détenu par la société, mais cela doit être prévu dans les statuts ou faire l’objet d’un accord entre les associés. Dans ce cas, il est généralement recommandé de mettre en place un bail entre la SCI et l’associé occupant le bien, avec un loyer fixé selon les conditions du marché.
La durée de vie d’une SCI est déterminée par les statuts de la société. Elle ne peut pas excéder 99 ans. Toutefois, les associés peuvent décider de proroger la durée de la SCI en modifiant les statuts, à condition de respecter la durée maximale autorisée.